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Quand le producteur américain Aaron Russo parlait de son amitié avec Nicholas Rockefeller : manipulation des masses et le Great Reset à venir.

Cette interview du producteur américain Aaron Russo par le journaliste Alex Jones reste à mes yeux la référence concernant la manipulation des masses et l’éveil général des consciences.

Ce fut le dernier entretien d’Aaron Russo qui décédera six mois plus tard à 64 ans.

Avant l’été 2007, Aaron Russo est atteint d’un cancer et se sait condamné à brève échéance (il est en traitement). Il décide de parler en utilisant le canal d’une radio qui couvre tout le pays. Une télévision d’extension nationale ne lui aurait probablement pas permis de s’exprimer de cette façon.

On ne peut donc pas alléguer que c’est un homme qui cherche à se faire remarquer ou qui a quelque chose à vendre, un nouveau film à sensation à lancer. Il se sait simplement perdu et décide de parler. Il fait des révélations effarantes concernant les confidences que lui aurait faites Nicholas Rockefeller un des membres de la célèbre et richissime famille de banquiers américains. Il parle  des attentats du 11 septembre 2001 dont lui avait déjà parlé Nicholas Rockefeller, de la guerre contre le terrorisme, du CFR, de l’imposture du féminisme, de la puce RFID sous-cutanée pour une société d’hypercontrôle, ainsi que de la réduction de la population mondiale (par deux)…etc

Les proches de Russo confirmeront par la suite l’intimité amicale qui avait régné entre les deux en fournissant cette photo d’eux ci-dessous.

Ce producteur était basé à Hollywood. Il défendait un cinéma dénonçant l’élite dirigeant la nation et le monde ainsi que la Réserve Fédérale privée. Son dernier documentaire « America…From Freedom To Fascism », sorti en 2006 était consacré à ce dernier sujet. Il y dénonce la politique américaine en matière de taxe fédérale sur le revenu, sur le système bancaire fédéral… La politique américaine depuis la création de la Banque Fédérale Américaine, conduit à une restriction croissante des droits des citoyens américains, surtout avec la mise en place des nouvelles lois depuis les attentats du 11 septembre 2001, et de la création de la nouvelle carte d’identité. Très impliqué dans la vie politique américaine, il s’est présenté aux élections du gouverneur du Nevada en 1998, sous les couleurs du parti Républicain, où il a fini deuxième, avec presque 30% des votes. Membre important du Parti Libertarien américain, il a été candidat de ce parti lors des primaires organisées pour l’élection présidentielle de 2004. Il a également produit des acteurs tels qu’Eddie Murphy et Dan Aykroyd dans « Trading Places », un véritable chef-d’œuvre.

Cette interview qui date de 2007 n’a jamais été autant d’actualité par rapport à ce que nous vivons.

Quand j’écoute cet homme, j’ai l’impression d’entendre exactement ce que mon ex-compagnon Jason me racontait en 2017 ou encore en 2018 sur ce qui venait, une bonne partie de sa famille et lui-même ayant œuvré pour la CIA comme je l’expliquais dans mon introduction. Malgré tout ce qu’il était, il avait cette bonne humeur quasi permanente et cet entrain que je ressens aussi dans cette interview à raconter ce qu’il savait inévitable. A l’époque, je ne l’écoutais que d’une oreille car cela ne m’intéressait pas vraiment mais mon cerveau a enregistré tout ce qu’il disait et également tout ce que j’ai vu.

RIP à cette belle âme Aaron Russo qui aura contribué à apporter de la lumière dans ce monde en déliquescence.

Extraits de cette interview dont la vidéo se trouve à la fin de l’article :

« J’ai rencontré Rockefeller par une avocate que je connaissais. Un jour elle m’appelle et me dit « Un des Rockefeller aimerait te rencontrer ». Je venais de réaliser Mad as Hell (Fou de rage). Rockefeller l’avait vu et il souhaitait me rencontrer. Il savait que j’étais candidat gouverneur du Nevada. J’ai accepté, bien sûr ! Je l’ai tout de suite apprécié. C’est un homme très intelligent. Nous discutions de nos idées, de nos pensées. Il m’a dit, onze mois avant les attentats du 11 septembre, qu’un événement allait se produire, mais sans jamais me dire quoi. Et qu’à partir de cet événement, nous allions envahir l’Afghanistan pour construire des pipelines depuis la mer Caspienne. Puis que nous allions envahir l’Irak pour prendre les gisements pétroliers et implanter une base au Moyen-Orient afin d’intégrer cette région dans le nouvel ordre mondial. Et ensuite, que nous irions nous occuper de Chavez, au Venezuela. Et il y a eu le 11 septembre… Il me racontait qu’on verrait des soldats fouillant les grottes au Pakistan, en Afghanistan etc. à la recherche d’individus, qu’il y aurait cette guerre anti-terroriste où il n’y a pas de véritable ennemi, et que tout cela serait un énorme canular qui permettrait au gouvernement de contrôler les américains.

Il disait : « Ce sera une guerre anti-terroriste » et il se marrait ! Contre qui on se bat ? Pourquoi croyez-vous qu’il y a eu le 11 septembre et depuis… plus rien ?! Vous pensez vraiment que notre sécurité, ici aux Etats-Unis, est si grande que ceux qui ont exécuté le 11 septembre ne sont pas capables de faire tomber un autre avion ? Allons, c’est ridicule ! Le 11 septembre est l’œuvre de notre propre gouvernement et de notre propre système bancaire pour entretenir la peur chez les américains, pour que la population voue ensuite une obéissance servile au gouvernement. Le 11 septembre avait aussi pour objectif de déclencher cette interminable guerre anti-terroriste. C’était le premier mensonge. Le mensonge suivant, c’était d’aller en Irak pour déloger Saddam Husseim et ses prétendues « armes de destruction massive ».

Pas d’ennemi, pas de vainqueur… le conflit peut s’éterniser ! Ils font ce qu’ils veulent ! Ils ont flanqué la trouille aux américains. Écoutez, toute cette guerre anti-terroriste est une fumisterie, une FARCE ! On a intimidé les gens pour qu’ils ne parlent pas. Et si vous osez en parler, ils vous font passer pour un fou. Mais la vérité doit se savoir et c’est bien pour ça que je vous parle. Le fait est que toute cette guerre anti-terroriste est une tromperie. Oui, il y a bien une guerre en Irak. Parce que nous avons envahi l’Irak. Et des gens se battent, là-bas, et ils se battent réellement ! Mais la guerre contre le terrorisme… c’est une blague ! Le 11 septembre c’est le point de départ de la guerre anti-terroriste, l’événement qui a mis le feu aux poudres. Et tant qu’on n’aura pas découvert ce qui s’est vraiment passé le 11 septembre, et surtout qui en est responsable, tant qu’on n’aura pas tiré ça au clair, on ne saura jamais rien de la guerre anti-terroriste.

Il me parlait d’investissement des entreprises et m’indiquait comment participer. Il me disait qu’ils étaient prêts à m’aider. Il me demandait si je voulais entrer au Conseil des Relations Extérieures (CFR), et m’assurait qu’il me pistonnerait. Autant de combines pour m’encourager et pour m’appâter. Mais je n’ai jamais accroché parce que ce n’était pas mes idées. Je lui disais : « Je t’aime beaucoup, Nick, mais nous ne sommes pas du même bord. Asservir les gens ne m’intéresse pas. » Il rétorquait : « Mais pourquoi t’en faire pour ces gens ? Qu’est-ce que ça peut te faire ? Prends soin de ta vie et de ta famille. Les autres sont insignifiants, ce ne sont que des serfs, des gens ! » Il faisait preuve d’un grand détachement et cela ne me correspondait pas. C’était… froid. Je lui ai dit : « Tu as tout l’argent que tu veux, tout le pouvoir que tu veux, c’est quoi le but de tout ceci ? »

Et il m’a répondu : « Le but final, c’est que tout le monde soit pucé, qu’on contrôle toute la société, que les banquiers et une poignée de gouverneurs dirigent le monde ».

Je lui ai demandé si au CRF ils pensaient tous comme lui. Et il m’a dit : « Non, la plupart sont persuadés de bien faire ! Ils sont tous plus ou moins socialistes. »

Il faut faire comprendre aux gens que le socialisme est un capitalisme et que l’Amérique est devenue socialo-communiste.

Un soir, nous étions tous les deux chez moi à discuter et Rockefeller s’est mis à rire : « A ton avis, Aaron, c’est quoi l’émancipation de la femme ? » A cette époque, j’avais sur ce sujet des idées reçues : depuis l’émancipation, les femmes peuvent travailler et prétendre aux mêmes salaires que nous, les hommes. Elles peuvent voter etc. Il s’est esclaffé : « Tu es un idiot. Je vais te dire ce qu’il en est. C’est nous, les Rockefeller, qui avons financé l’émancipation de la femme. C’est la Fondation Rockefeller qui en a parlé aux journaux et à la télévision. Et ce pour deux raisons : avant l’émancipation de la femme, on ne pouvait taxer que la moitié de la population… les hommes ! Et le second point, c’est que désormais nous pouvons scolariser les enfants plus tôt et influencer leur façon de penser, ce qui brisera leur famille. Les gamins considéreront l’état, l’école et les responsables comme leur famille, et plus leurs parents. »

Voilà les deux raisons principales de l’émancipation de la femme, que jusqu’alors je pensais être une aventure noble. Quand j’ai réalisé les motivations qui avaient sous-tendu l’émancipation de la femme, j’ai perçu tout le mal que ça cachait.

Nicholas Rockefeller riait, c’était cynique : « Les gens sont tellement stupides, on peut faire tout ce qu’on veut ! »

Cliquez ici pour visionner l’interview d’Aaron Russo

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