plume

A propos

Que vous tombiez par hasard sur ce site ou que vous me connaissiez déjà, se présenter est fondamental, surtout d’expliquer pourquoi j’ai décidé de le créer.

 

J’ai tenu un blog pendant plusieurs années, cependant ce nouveau site me tient bien plus à cœur vu la conjoncture actuelle et ayant eu une histoire personnelle concernant les sujets évoqués ici. Ce nouveau site se divise en trois parties : le trafic humain, le contrôle mental et une partie plus légère, la spiritualité.

 

Je pourrais énumérer beaucoup d’informations pour décrire mes passions et mes habitudes : la lecture, l’écriture, la méditation, beaucoup de sport, une alimentation saine et équilibrée, des écouteurs toujours vissés sur les oreilles avec de la musique quand je suis dans des endroits où il y a du monde ou quand j’écris, une véritable noctambule, une vie à 100 à l’heure, très perfectionniste, amatrice de whisky, d’eau de vie et de champagne, faire la cuisine et la vaisselle pour me détendre…etc

Bien que toute cette description soit vraie, je trouve bien plus intéressant d’expliquer pourquoi j’en suis venue à vouloir créer un site sur des sujets aussi sensibles et je serai de toute façon amenée à écrire des données sur ma vie personnelle.

 

J’ai rédigé une introduction dans laquelle je détaille pourquoi j’ai voulu faire ce site et plus précisément pourquoi j’ai sélectionné ces trois parties.

 

Présentation toutefois rapide : j’aide depuis un an le journaliste Richard Boutry (sur ses réseaux sociaux principalement) et j’ai enseigné durant 10 ans à l’Education nationale dans un lycée professionnel. Je suis en disponibilité depuis plusieurs années et n’y retournerai pas tant que le système ne changera pas et que ce dernier enfermera les élèves dans des convictions et certitudes, sous couvert de les instruire pour leur inculquer la meilleure façon de penser.

C’est lorsqu’une inspectrice déclara (après lui avoir demandé pourquoi on enlevait de plus en plus de théorie dans nos cours, en s’inquiétant de l’allègement d’année en année des programmes scolaires) : « A l’Education nationale, on s’en fiche que les gamins ne sachent ni lire, ni écrire. Tout ce qu’on leur demande, c’est d’être de bons exécutants ! » , que j’ai décidé de prendre un virage à 90 degrés. Le soir même, je rédigeais une lettre de démission, avant de me rétracter et de demander ma première année de disponibilité pour la rentrée d’après.

 

J’étais censée quitter la France en 2020 pour partir en Australie mais ai dû laisser tomber ce projet pour les raisons que tout le monde connaît… Aujourd’hui, j’ai une mission concernant un travail complètement nouveau qui s’arrêtera au moment où un autre projet, dont je parlerai plus tard verra le jour.

 

Je suis actuellement un peu « nomade » et je passe ma vie ces dernières semaines avec une valise car je suis souvent en déplacement. Il m’arrive parfois de me poser un peu comme maintenant. Ces lignes par exemple, je les écris de la Baule… un lieu que je connais bien et que j’affectionne beaucoup.

Je m’excuse d’avance si je suis maladroite dans mes propos à venir, mais c’est un peu compliqué et délicat d’aborder ces divers sujets. J’ai rarement pu les évoquer, sauf auprès de personnes de confiance comme quelques amis ou mon frère dans ma famille.

Je vais souvent citer des sources dans la partie sur le trafic humain comme Donde Vamos, Pedopolis, Wanted Pedo et la Team FSociety, qui sont pour la plupart, des associations qui se battent contre le trafic humain, notamment la pédocriminalité. Je reconnais volontiers la qualité de leur travail mais regrette que la plupart d’entre eux n’aient jamais dit pourquoi ils se sont autant impliqués contre le plus grand fléau de ce monde.

 

Je peux me tromper mais quand un sujet aussi difficile et anxiogène que celui-ci nous touche autant, c’est qu’on y a été confronté(e) de près ou de loin…

Un livre dans lequel je raconte mon histoire verra bientôt le jour.

Il m’est impossible de raconter toute cette histoire en quelques lignes mais c’est ce vécu qui m’a amenée à m’intéresser de plus près à tous ces sujets.

Au final, beaucoup de personnes pensent connaître mon histoire, mais n’ont aucune idée de certains détails et ne savent donc que les grandes lignes. J’avais d’ailleurs rédigé une première version très édulcorée par rapport à la vérité, par peur d’être jugée, avant de décider d’écrire ce qui s’est réellement passé. (Il y a tout de même une partie fictive.)

 

Mes réseaux sociaux se trouvent en haut de page. A savoir que j’utilise très peu mon compte Facebook, car j’ai l’impression de naviguer dans un cimetière en ligne vu le peu de réactivité sur ce réseau concernant les sujets que j’évoque ici. Je préfère prévenir que mon compte Instagram est très censuré à cause de publications qui ne vont pas dans le sens de la pensée unique qu’on tente par tous les moyens de nous imposer. Je le désactive donc souvent car la nouveauté aujourd’hui n’est plus de supprimer des comptes qui dérangent mais les vider progressivement et les rendre invisibles pour les censurer. Je perds donc énormément de contacts chaque jour qui se retrouvent désabonnés sans être au courant, on ne peut plus me mentionner, mes stories apparaissent en dernier dans la file et mes publications n’apparaissent plus dans l’accueil. Je vais tenter de faire un tri dans mes anciens posts mais je doute qu’il récupérera un jour de la visibilité comme avant.

La grande censure avait commencé après la publication d’une vidéo liée à la mort du chimiste Autrichien Andreas Noack qui alertait sur la dangerosité du produit expérimental qu’on a forcé presque toute la planète à prendre bien souvent sous la contrainte. Celle qui a « achevé » le compte est celle du député belge Laurent Louis qui expliquait comment sont véritablement mortes les petites Julie et Mélissa dans l’affaire Dutroux. (Je ferai d’ailleurs rapidement un article à ce sujet… Laurent Louis doit justement m’aider sur ce cas, on doit s’appeler prochainement vu qu’il a suivi l’affaire de près.)

Toute cette censure est pour notre bien il paraît… ou plutôt toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire…

Le réseau où je suis plus active est VK, mais le compte est plein, je ne peux plus accepter de nouveaux contacts, on peut seulement le suivre.

La suite est à lire ici